« La posture du chercheur territorial : Méthodologies et engagements » – Table-ronde des ateliers doctoraux 22 avril 2016

Table-ronde « La posture du chercheur territorial : Méthodologies et engagements »
Florence Jany-Catrice (Professeure d’économie, Clersé, Lille 1)
Pascal Depoorter (MCF en sociologie, CURAPP-ESS, UPJV)
Geneviève Fontaine (doctorante en économie, Erudite, Institut Godin, Scic TETRIS)
Animation par Laurent Gardin (MCF en sociologie, UVHC)

« Les communs, un enjeu politique pour l’ESS ? »

Séminaire du 17 juin 2016

14H00-17H30, Espace Baietto, MESHS Lille, 2 rue des canonniers 59000 Lille

 Cycle « Les initiatives solidaires en communs » Séance 4 Bilan

Cette séance est précédée le matin d’une Assemblée Générale de la Chambre Régionale en Economie Sociale et Solidaire Nord Pas de Calais Picardie.

 Problématique :

Après une première séance sur les nouvelles formes de coopération et les dynamiques contributives liées aux communs, une seconde séance sur les convergences entre ESS et communs à travers le cas des SCIC, et une troisième séance sur les apports de l’ESS aux communs, cette dernière séance du cycle « Les initiatives solidaires en communs » de la ChairESS Nord-Pas-de-Calais-Picardie sera dédiée au bilan des travaux de recherche de la Chaire et, plus généralement, à la question de l’enjeu politique que la thématique des communs peut représenter pour l’ESS.

Les organisations de l’ESS se saisissent-elles de la thématique des communs et, si oui, comment ? Les communs représentent-ils un avenir possible et souhaitable de transformation de l’ESS ? S’agit-il seulement de reconnaître des formes de proximité entre ESS et communs ? A quelles dimensions pratiques, concrètes, institutionnelles l’appropriation de la thématique des communs par l’ESS peut-elle aboutir ? Cette appropriation de la thématique des communs par l’ESS ne conduit-elle pas elle-même à réinterroger la perspective des communs pour définir une forme économique et politique originale que nous pourrions appeler « communs sociaux » ? C’est à ces questions que nous réfléchirons collectivement à partir de la réflexion d’acteurs de l’économie sociale et solidaire et de chercheurs.

 Programme de l’après-midi  Continuer la lecture de « « Les communs, un enjeu politique pour l’ESS ? » »

ESS et communs : où en sommes-nous ?

Compte rendu Séminaire du 11 février 2016

Présentation par Gérard Dechy (ChairESS)

ESS et communs : où en sommes-nous ?

Ce séminaire est le troisième du genre (et avant-dernier), conformément à ce que nous avions décidé après avoir retenu les communs comme premier thème prioritaire d’étude de cette chaire, originale tant dans sa composition, interuniversitaire et interdisciplinaire que dans son fonctionnement et sa gouvernance qui associent chercheurs et acteurs.

Dans un premier temps, nous avons présenté des expériences de communs et découvert, pour certains d’entre nous dont je suis, les capacités insoupçonnées des communautés d’acteurs qui se réunissaient autour d’un projet qu’ils concevaient et amélioraient de façon continue. Découvert aussi que ces méthodes de travail, utilisées par exemple par 60 profs de maths de collège, pouvaient avoir raison des marottes et des blocages des Inspecteurs Généraux de l’Education Nationale comme des lobbies des éditeurs de manuels scolaires et séduire 2 millions de collégiens, avec ou sans accent circonflexe sur les i ou les u. Découvert encore qu’on était sur une autre approche que celle qui se préoccupe de la préservation des biens initialement communs comme la terre, l’air ou l’eau qui sont désormais marchandisés.

Ce faisant, on touchait du doigt de nouvelles façons de produire des richesses grâce à l’outil numérique mais aussi grâce à certaines formes de partage et de citoyenneté économique. On sentait bien aussi que statut ne valant pas vertu, tout ce qui relève apparemment des communs n’est pas forcément animé par ces mêmes objectifs. Et des initiatives développées dans le cadre de l’économie collaborative sont davantage basées sur le profit de quelques uns que sur des échanges équitables entre citoyens du monde. Communs et ESS ne vont donc pas de soi. Il convenait d’essayer d’y voir plus clair et de repérer les bons grains et l’ivraie.  Continuer la lecture de « ESS et communs : où en sommes-nous ? »

Premier atelier doctoral de la ChairESS – Initiatives solidaires et soutenabilité des territoires

 Premier Atelier Doctoral de la ChairESS en partenariat avec l’Institut Godin

22 avril 2016

Région Nord-Pas-de-Calais Picardie

 

Appel à participation

Initiatives solidaires et soutenabilité des territoires

La chaire interuniversitaire et interdisciplinaire en économie sociale et solidaire et soutenabilité du territoire de la Région Nord-Pas-De-Calais Picardie, en partenariat avec l’Institut Godin, Centre de transfert en Pratiques solidaires et Innovation sociale, organise à Lille son premier atelier doctoral le 22 avril 2016 sur la thématique des initiatives solidaires et soutenabilité des territoires.

La chaire interuniversitaire et interdisciplinaire en économie sociale et solidaire et soutenabilité du territoire réunit de manière collégiale enseignants-chercheurs, acteurs et institutions publiques autour de la valorisation de travaux, de pratiques, de recherches et de formations en économie sociale et solidaire, à l’échelle de la région Nord Pas-de-Calais Picardie. Créé à l’initiative de différents acteurs en région Picardie, l’Institut Jean-Baptiste Godin située à Amiens est un centre de transfert en pratiques solidaires et innovation sociale dont les activités se structurent autour de trois grands axes : la recherche scientifique, la recherche appliquée et collective, et le transfert de cette recherche auprès des acteurs privés et publics.

Ce premier atelier doctoral s’adresse aux étudiants de master, aux doctorants et aux post-doctorants porteurs d’un questionnement de recherche. Sortant des schémas classiques de formation et de recherche, cette journée souhaite participer à l’émergence sur la région Nord Pas-de-Calais Picardie d’un espace de réflexion et de discussion collectif pour permettre aux jeunes chercheurs de présenter des recherches plus ou moins abouties autour de l’ESS, des initiatives collectives, de la participation, de la soutenabilité des territoires (liste non exhaustive), et de pouvoir ainsi en discuter avec des personnes issues d’universités et de disciplines différentes. Cet atelier doctoral est par ailleurs ouvert aux étudiants et aux doctorants issus d’autres régions et sensibilisés à ces problématiques.

Afin de permettre des regards croisés et échanges constructifs pour l’ensemble des participants, nous avons organisé la journée en deux temps : une matinée de rencontres et de débats en plénières avec les universitaires et acteurs qui ont créé la chair’ESS ; une
après-midi en ateliers thématiques pour présenter et discuter de ses recherches en petit collectif.

Pour préparer ce premier atelier doctoral, nous adressons un appel à participation afin de connaître votre profil, vos domaines de recherche et vos attentes. Cette journée peut être l’occasion de présenter une problématique, un papier en cours de rédaction, un article, un plan de mémoire ou de thèse ou tous autres supports de présentation. Vous trouverez sur la page suivante une fiche de présentation à nous renvoyer avant le 15 mars 2016 ainsi qu’un programme provisoire de cette journée.

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Conférence-débat « Le retour des communs » avec Benjamin Coriat

L’Association pour une Economie Sociale et Solidaire (AESS-APIESS) en partenariat avec l’APES et Espace Marx vous propose d’assister à une conférence :

 
Benjamin CORIAT
Le retour des communs, la crise de l’idéologie propriétaire
le jeudi 14 janvier 2016, à 18h00 à l’Espace Marx de Lille
 

Description:
Six mois après la parution de l’ouvrage dont il a dirigé la publication, et alors que la notion des « communs » continue d’être au cœur des débats des mouvements alternatifs, l’Association pour l’Economie Sociale et Solidaire (AESS-APIESS – Lille 1) en partenariat avec l’APES et Espace Marx invite Benjamin Coriat à débattre du lien entre les communs et l’Economie Sociale et Solidaire.
Simon Sarazin, membre de l’ANIS sera également présent afin de discuter des formes que prennent les communs dans la pratique à travers son expérience dans le Collectif Catalyst, Unisson et à la Couroutine.
Invité:
¤ Benjamin CORIAT, économiste et professeur à l’Université de Paris 13 et membre du Comité d’animationdes Économistes Atterrés. Il a dirigé la publication de l’ouvrage Le Retour des Communs, la crise de l’idéologie propriétaire(Les Liens qui Libèrent, 2015).

 
Discutant:
¤ Simon SARAZIN, membre de l’ANIS, du Collectif Catalyst, d’Unisson et de la Couroutine.
Plus d’informations sur l’association et l’événement sur :
Association pour une Economie Sociale et Solidaire (AESS-APIESS)
C304, Bât. SH3, FSES, Université Lille 1

Des monnaies locales complémentaires, pour quoi faire?

Forum

jeudi 17 décembre 2015
14h-17h30| MESHS

La MESHS, en collaboration avec la Chaire Économie sociale et solidaire du Nord Pas de Calais et le Centre «droits et perspectives du droit» (université de Lille), et dans le cadre de son programme « Argumenter, décider, agir », organise organise un forum dédié aux usages et utilités des monnaies locales complémentaires.

La loi du 31 juillet 2014 relative à l’économie sociale et solidaire a accordé une reconnaissance juridique aux monnaies locales complémentaires, par ailleurs définies comme des «dispositifs d’échange locaux de biens, de services et de savoirs, organisés autour d’une monnaie spécifique permettant à la fois d’évaluer et de régler des échanges». Avant même cette consécration légale, des territoires avaient fait le choix de recourir à ce type d’outil dans le but de redynamiser leur tissu économique et de le faire évoluer vers des pratiques plus éthiques et plus respectueuses d’un développement durable. L’amplification de ces initiatives a amené le gouvernement à nommer une Mission d’étude sur les monnaies locales complémentaires et les systèmes d’échange locaux.

Jean-Philippe Magnen, auteur du rapport remis au Secrétaire d’État chargé du commerce, de l’artisanat, de la consommation et de l’économie sociale et solidaire le 8 avril 2015, vient présenter, à l’occasion de ce forum, un état des lieux de ces systèmes d’échange et de leurs perspectives de développement. Les usages et utilités de ces monnaies locales complémentaires sont appréhendés tant à l’échelle des territoires locaux français qu’au niveau mondial.

Programme

14h30 | Accueil et ouverture de séance par Sandrine Chassagnard-Pinet, membre de l’équipe de direction de la MESHS et professeure de droit privé à l’université de Lille

14h45 | Les monnaies locales complémentaires, état des lieux et perspectives de développement, par Jean-Philippe Magnen, vice-président de la région Pays de la Loire, auteur du rapport sur «Les monnaies complémentaires et les systèmes d’échanges locaux»

15h30 | Le cadre juridique de développement des monnaies locales complémentaires, par Christophe Mondou, maître de conférences en droit public à l’université de Lille, membre du Centre «droits et perspectives du droit» (équipe de droit public)

16h | Usages et utilités des monnaies locales complémentaires à l’échelle d’un territoire français. L’exemple de la Bou’Sol, par Joackim Lebrun, chargé de mission en appui au développement de la monnaie locale en régions Nord-Pas-de-Calais et Picardie

16h30 | Usages et utilités des monnaies locales complémentaires à l’échelle mondiale. L’exemple de l’Argentine, par Hadrien Saiag, chargé de recherche au CNRS et membre du laboratoire d’anthropologie des institutions et des organisations sociales

Débat avec la salle

MESHS – 2, rue des Canonniers, 59000 Lille – tel.: +33 3 20 12 58 30

Contexte et état de l’art – Les communs – Pierre Sauvêtre

Extrait d’une recherche réalisée par Pierre Sauvêtre, maître de conférences en sociologie à Paris Nanterre et post-doctorant ChairESS HDF (2015-2016).

La multiplicité des crises fait surgir de nouvelles pratiques sociales de production, de consommation et d’échange et simultanément invite, même si la transition peine à trouver des repères théoriques convergents, à l’élaboration de nouveaux modèles. La socio économie des « communs » est une des manières d’explorer à la fois les pratiques sociales et de renouveler les cadres théoriques existants.

La notion de « commun » est relativement récente dans la recherche scientifique en France, même si elle connaît un développement rapide – ce qui pourrait être en soi l’objet d’une recherche. Ce sont les travaux d’Elinor Ostrom et de l’école d’Indiana, d’abord centrés sur les systèmes auto-organisés et autogouvernés de gestion des ressources naturelles, qui ont remis la notion de « commons » au goût du jour au début des années 1990 (Coriat, 2013). Par la suite, Elinor Ostrom et Charlotte Hess (2007), sous l’influence d’un groupe de juristes anglo-saxons (Lessig, Boyle, Benkler) impliqués dans la lutte contre les droits de propriété intellectuelle, ont été amenées à étendre leur modèle de « communs » (de systèmes auto-organisés de gestion des ressources, de gouvernance démocratique et de distribution des droits de propriété) aux communs immatériels (de l’information, de la connaissance, du numérique, et notamment d’internet), tandis que réciproquement le modèle des communs était intégré au mouvement des logiciels libres (Coriat et Broca, 2015). Après l’attribution du prix d’économie en mémoire d’Alfred Nobel en 2009 à Elinor Ostrom, les travaux sur les communs se sont multipliés, et ses héritiers ont poursuivi dans la veine consistant à asseoir essentiellement la possibilité des communs sur des ressources foncières ou informationnelles (Coriat et al, 2015). D’autres ont insisté sur la pertinence de ce modèle pour analyser les échanges économiques pair-à-pair sur internet (Bauwens, 2015).

Parallèlement, des voix critiques ont commencé à s’exprimer sur certains présupposés économiques de la théorie d’Ostrom, sur son libéralisme et l’impensé du rôle conféré à l’Etat (Baron, Petit et Romagnan, 2011), sur le naturalisme de sa théorie des biens issue de l’économie standard (Dardot et Laval, 2014 ; Laval et Laville, 2014) faisant des communs des formes institutionnelles compatibles avec l’économie dominante et dans le même temps des espaces éthérés, à l’écart des rapports de force produits par les logiques socio-économiques et assis sur une vision idéalisée de la communauté (Schweizer, 2013), négligeant les rapports de pouvoir et également les effets de ce que Jean-Louis Laville et Renaud Sainsaulieu nomment l’ « isomorphisme institutionnel » (Laville et Sainsaulieu, 2013).

Dans le même temps, différents phénomènes et processus socio-politiques ont transformé la compréhension des communs. Ainsi, par le truchement des crises économiques et d’une manière d’envisager autrement les logiques de gouvernance, une dynamique sociale coopérative nouvelle semble émerger non seulement dans le domaine de la production (augmentation du nombre des SCOP et des SCIC), mais aussi dans la consommation (coopératives de consommation), dans le logement (habitats coopératifs, couch surfing), dans les services à la personne (co-voiturage), ou encore dans des systèmes d’échanges non marchands en tous genres, s’appuyant souvent sur le développement des nouvelles technologies numériques.

Certains chercheurs y décèlent des convergences entre l’économie solidaire et les communs (Nyssens et Petrella, 2015), quand d’autres préfèrent voir dans cette dynamique coopérative le retour à un « sens du social » sur laquelle la notion de « commun » ferait l’impasse (Fischbach, 2015). D’autres encore – sous l’impulsion du « mouvement des places » qui a fait émerger la notion de « communs urbains » (Festa, 2015) et de l’appropriation de cette notion de communs (ou de biens communs), notamment par des mouvements politiques et des luttes sociales, que ce soit en Bolivie, en Italie, en Espagne, aux Etats-Unis ou en Grèce (Sauvêtre, 2016) – font du commun un principe de refondation du politique et de la démocratie reposant sur la co-participation et la co-décision, non sans en même temps souligner tout ce qui relie une telle notion à l’héritage associationniste et mutualiste du mouvement ouvrier (Dardot et Laval, 2014) dont l’économie sociale et solidaire est elle-même l’héritière (Laville, 2010).

Débat autour du livre « Le retour des communs » coordonné par Benjamin Coriat

20 mai 2015

Conférence débat des « économistes atterrés » autour de la présentation du livre :

Le retour des communs

                                          La crise de l’idéologie propriétaire

Coordonné par Benjamin Coriat aux éditions « Les liens qui libèrent »

En présence de :

Sandra Moatti (Présentation)

Benjamin Coriat (Conférencier)

Hervé le Crosnier (Discutant)

Sandra Moatti: Nous sommes donc réunis ce soir pour évoquer la question des communs autour du livre dirigé par Benjamin Coriat. Moi, c’est une question qui sans la connaître me fascine depuis quelque temps, notamment à cause de cette ambivalence incroyable que c’est à la fois une question qui s’inscrit dans un contexte de grande inquiétude et qui, en même temps, soulève beaucoup d’espoirs. Une grande inquiétude parce que, si vous êtes là, vous êtes tous conscient du déferlement de l’ « idéologie propriétaire » qui prend des formes extrêmement diverses, qui s’étend dans ses formes les plus extrêmes, de la brevetabilité du vivant, qui, dans la forme du savoir, prend la forme de brevets sur les molécules, dans le domaine de la création, l’extension des droits d’auteur, dans nos villes, la privatisation des espaces publics, dans nos maisons l’injonction à tous devenir propriétaires de nos logements, sur les terres des pays du Sud, l’appropriation de grandes quantités de terres par des sociétés multinationales, bon j’arrête là la liste ; Continuer la lecture de « Débat autour du livre « Le retour des communs » coordonné par Benjamin Coriat »

L’ESS et les initiatives en commun : quels liens, quelles coopérations ?

Séminaire de recherche 2015

Compte rendu de la 1ère séance du 1er avril 2015

14h30 : Présentation du séminaire par Christian Mahieu, chercheur au CNRS, secrétaire général de la Chaire ESS
Ce séminaire ne se veut pas un séminaire entre chercheurs mais veut associer les chercheurs et les gens impliqués dans l’action. L’objectif est de créer une culture commune autour de la thématique « ESS et initiatives solidaires en communs ». Chacun de ces mots a une importance : la problématique émergeante des communs est déjà au cœur des mobilisations contemporaines. Mais on ne veut pas pour autant fétichiser les mots, notre approche est d’abord pragmatique, tournée vers l’action et tient compte des conditions sociales des publics.
C’est dans cette optique que l’on a construit le panel d’aujourd’hui avec Michel Briand, Directeur adjoint de la Formation à Telecom Bretagne, membre du Conseil National du Numérique, élu entre 1994 et 2014 à Brest en charge d’internet et du multimédia et à Brest Métropole Océane en charge de l’ESS et de l’aménagement numérique du territoire ; Simon Sarazin, acteur du développement des communs, Membre d’initiatives telles que La Coroutine, Unisson et Catalyst ; Stéphanie Bost, Association Interphaz et projet Crea’cit, Agnès Kindt, maraîchère et administratrice ; et Rémi Top, animateur du réseau des AMAP Nord-Pas de Calais. L’objectif était aussi de créer un lien entre ces initiatives tournées vers les communs et les manifestations antérieures de la chaire.

14 h 40 : Les nouvelles questions de coopération : le commun et les dynamiques contributives dans une société transformée par le numérique,
Michel Briand, Directeur adjoint de la Formation à Telecom Bretagne, membre du Conseil National du Numérique, élu entre 1994 et 2014 à Brest en charge d’internet et du multimédia et à Brest Métropole Océane chargé de l’ESS et de l’aménagement numérique du territoire.

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